Dès l’ élection présidentielle américaine du 2000, quand le républicain George W. Bush a gagné au démocrate Al Gore grâce au vote des latino – américains (40% des votes), la voix de la plus nombreuse ethnie du ce pays a attiré vraiment l’attention des candidats à la présidence.
Une des principaux raisons: l’augmentation de la population latino- américain. Dans les dix années derniers, la population latina a grandi 43%. En étant les états plus peuplées: le Nouveau Mexique, Texas, la Californie, l’Arizona, la Floride, Colorado et Illinois.
Malgré le grand nombre des latinos sans papiers, sa présence dans l’ électoral a augmenté considérablement chaque élection présidentielle. De même, la National Association of Latino Elected and Appointed Officials (NALEO) a projeté pour cette élection du 2016 la présence de 28,5 millions de latinos dans les urnes. 52% plus que dans l’ élection du 2012, l’ année quand Barack Obama a gagné la réélection grâce à la préférence de cette ethnie.
12.3 millions des latinos ont sorti a exercer leur droit en 2012. La grande partie d’entre eux a maintenu sa préférence pour le démocrate quand même il n’a pas respecté sa promesse, fait en 2008, de donner des papiers a plus de 11 millions d’ entre eux.
La formule du succès?
Le plus clair exemple de que la préférence des latinos peut faire la différence dans les résultats des élections, il est le triomphe de la réélection de Barack Obama en 2012. Le candidat démocrate, à l’époque, a commencé sa compagnie – dès sa première candidature en 2008- vers les principaux ethnies du pays, surtout vers la communauté latino – américaine qui contribue avec la moitié du développement du pays.
Les résultats: dans une grande partie des états ou Obama a gagné, les latinos sont majorité. L’ Arizone, la Californie, Colorado, la Floride, Nouveau Mexique, ont dans leur électorat un pourcentage des latin- américains qui représente plus de la moitié du total.
Bien que le latinos n’ représentent pas encore un pourcentage si prédominant dans les Etats – Unis, leur voix a contribué au succès des derniers candidates à la présidence du pays “le plus puissant du monde“. Alors, les candidates républicains qui crient à haute voix n’avoir pas besoin des latinos , ils doivent, peut- être, prendre en compte l’ histoire écrite par leur possibles prédécesseurs.
Gila Ríos Jiménez.