En fin 2015 ,le taux de chômage moyen de l’ensemble des pays de l’union européenne avec un léger recul entre le 1er et le dernier trimestre de l’année 2015 de -0,1 %
Selon Eurostat qui publie chaque mois de taux de chômage harmonisés pour les pays membre de la zone Euro , après avoir sélectionner les pays les plus toucher par le chômage par pourcentage dans la population active sur les base de la définition de l’organisation international du travail ( OIT ) la population active représente le nombre total des personnes .
La crise de la dette des états européens les plus endettés éclate au même moment et conduit à des mesures de restrictions en Grèce et en Espagne, ou au Portugal. Il s’ensuit une récession pour ces pays accompagnée d’une hausse très forte du chômage. par contre une évolution radicalement différente avec un repli sensible du niveau du chômage en Denmark , Allemagne et la Suède .
Chômage en Europe : en baisse fin 2015
En avril dernier, Delphine Ernotte Cunci est nommée présidente de France Télévisions: une nomination plus que symbolique puisqu’elle est la première femme à diriger le groupe. Dans le secteur de l’audiovisuel public la présidence est le plus souvent masculine. Depuis 1975, moins de dix femmes ont réussi à accéder à la tête des cinq plus grandes institutions audiovisuelles publiques françaises, même si depuis 2015, la situation s’est quelque peu améliorée. Sur les cinq groupes principaux, trois sont désormais dirigés par des femmes.
Un chiffre encourageant mais qui reste à relativiser au vu de la sous représentation des femmes dans le milieu des médias: selon une étude mondiale relayée par le collectif « Prenons la Une », les femmes ne représentent que 24% des personnes dans les médias. En 2015, il n’y avait aucune femme dans le comité de direction de France Télévisions et moins de la moitié au sein de France Médias Monde, Radio France et l’INA (Institut National de l’Audiovisuel). Seul Arte France fait figure de bon élève avec un comité de direction composé à 65% de femmes.
« Les attentats font les choux gras de la droite et du FN » entend-on souvent. Pourtant à y regarder de plus près, les chiffres ne montrent aucun effet d’aubaine pour Marine Le Pen. Ponctuellement, l’effet « gestion de crise » post-attentats semble plutôt redorer le blason des présidents en exercice.
La cote de popuarité de Marine Le Pen revigorée par les attentats ? Pas vraiment.
La popularité d’un chef de l’Etat n’a jamais autant augmenté que celle de François Hollande après les attentats. + 20 points après janvier 2015. Le précédent record était détenu par Jacques Chirac, qui avait gagné 12 points après sa réélection.
Un effet de courte durée… En septembre dernier un sondage IFOP pour Le Figaro donnait François Hollande éliminé dès le premier tour en 2017. Bis répetita en novembre : après les attentats, le président se pose en chef des armées, déclarant la guerre à l’Etat islamique qui a attaqué le pays. + 20 points. Avant la débandade des régionales…
L’effet « gestion des attentats » fonctionne quel que soit la couleur politique
Avant François Hollande, Nicolas Sarkozy avait lui aussi bénéficié d’un regain de popularité après les tueries perpétrées par Mohamed Merah en mars 2012. Comme à son habitude, Nicolas Sarkozy avait répondu en proposant une série de mesures pour renforcer l’arsenal pénal.
Une gestion de crise bénéfique : en un mois, l’ancien président gagner 7 points, se voyant propulser en bonne place dans la course à la présidentielle. A l’époque, 47% des Français interrogés estimaient que le candidat UMP avait « le plus l’étoffe d’un président de la République, » (+5% par rapport à avant les tueries).
« L’effet attentat » sur Marine Le Pen, un fantasme
Il est clair que ces attentats confortent les thèmes classiques du FN : les liens supposés entre immigration et insécurité, « l’Europe-passoire », une demande de sécurité accrue … » analysait le 18 novembre le directeur d’opinion de TNS-Sofres.
Pourtant dans les faits, les attentats sont loin de donner des ailes à la présidente du Front National. Mis à part un petit regain de popularité après les tueries de Toulouse et Montauban en mars 2012, les événements ne font guère frémir la courbe de popularité de Marine Le Pen. En janvier, c’est même une chute, -3 points, comme une sanction pour la polémique de la marche républicaine.
Défait dans l’Iowa, Donald Trump est tombé de son piédestal. Annoncé vainqueur dans les sondages, il a pourtant été devancé par Ted Cruz (27,6% des votes, contre 24,3%). Mais loin d’être abattu, le milliardaire américain s’est félicité de son score. Étonnant? Pas vraiment.