Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a annoncé, ce vendredi 7 juin, la réouverture progressive des établissements d’enseignement primaire de l’archipel à partir du 17 juin. « Le cap est maintenu », a souligné Isabelle Champmoreau, vice-présidente chargée de l’enseignement.
A noter que les collégiens ne retourneront pas en cours pour la mi-juin, tout comme les lycéens qui reprendront plus tard, aux alentours du 24 juin.
Plusieurs établissements scolaires de l’archipel avaient été dégradés ou partiellement détruits lors des violences ayant secoué dernièrement la Nouvelle-Calédonie.
La Formule 1 fait étape au Canada, à Montréal, ce week-end pour le neuvième rendez-vous de la saison 2024. Les hostilités commencent dès ce vendredi 7 juin avec les essais libres. Deux semaines après un Grand-Prix de Monaco historique, le circuit de Gilles-Villeneuve nous gratifiera-t-il du même spectacle ?
Le rendez-vous canadien est devenu un incontournable du calendrier de la F1, présent depuis 1978. Le circuit Gilles-Villeneuve, renommé ainsi après la mort en course du prodige canadien en 1982, accueille la 42e édition du Grand-Prix. Les pilotes emprunteront à 70 reprises le tracé long de 4.361km, situé sur l’Ile Notre-Dame à Montréal.
Une piste exigeante pour les mécaniques et les pilotes avec de longues lignes droites, des virages rapides et des limites de piste qui laissent peu de place aux erreurs. Au cours des 42 éditions précédentes, 24 pilotes ont triomphé, parmi eux Lewis Hamilton et Michael Schumacher qui se partagent le record de victoires avec 7 succès. Ferrari est le constructeur le plus victorieux sur le tracé canadien avec 11 triomphes.
Le spectacle et les émotions ont toujours été au rendez-vous. On se souvient des premières victoires en carrière de Lewis Hamilton en 2007, puis de Robert Kubica en 2008, gravement accidenté ici-même en 2007. Daniel Ricciardo aura la ferme intention de célébrer comme il se doit les 10 ans de son premier succès à Montréal, en 2014.
Comment ne pas oublier, la première et seule victoire du Français Jean Alesi, en 1995, victime d’une panne d’essence après le franchissement de la ligne d’arrivée, qui se fait raccompagner par Michael Schumacher, sous les acclamations du public. Le GP du Canada, c’est aussi la plus longue course de l’histoire de la F1 (4 heures et 4 minutes) qui avait vu s’imposer Jenson Button, en 2011, dans le dernier tour.
Red Bull et Max Verstappen : le retour au sommet ?
Cette année, les enjeux et les incertitudes sont multiples. Invisible lors du Grand-Prix de Monaco, Max Verstappen aura à cœur de retrouver la plus haute marche du podium qui lui est de plus en plus contestée par les pilotes Ferrari et McLaren. Le triple champion du monde s’y est imposé au cours des deux dernières éditions en 2022 et 2023, non sans quelques difficultés. Actuel leader du championnat du monde, le Néerlandais compte 31 points d’avance sur son dauphin Charles Leclerc (2e avec 138 points). Lando Norris complète le trio de tête avec 113 points
Esteban Ocon, annoncé partant de chez Alpine F1 Team, tentera de faire oublier son abandon à Monaco, après s’être accroché avec son coéquipier Pierre Gasly. Victime d’un déferlement de haine sur les réseaux sociaux, le Français voudra faire taire ses détracteurs et finir son contrat chez Alpine sur une bonne note. Son ancien coéquipier, Sergio Perez arrive à Montréal plus sereinement. Le Mexicain a prolongé son contrat avec Red Bull Racing pour deux saisons supplémentaires.
L’homme de 27 ans qui avait attaqué des voyageurs du métro lyonnais le 26 mai dernier a été mis en examen pour « tentatives de meurtre » ce jeudi 6 juin et placé en détention provisoire, a annoncé le parquet de Lyon en date du 7 juin.
L’homme avait été transféré en psychiatrie au terme de sa garde à vue à la suite de l’agression. Inconnu des services de police, il faisait néanmoins l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) « assez ancienne », émise par la préfecture de la Vienne en 2022, précise le parquet.
Dans l’attaque menée par le suspect, quatre personnes avaient été blessées, dont une gravement.
Le maire de Châteauroux-les-Alpes, Jean-Marie Barral, a été condamné par le tribunal de Gap ce vendredi 7 juin à un an de prison avec sursis pour braconnage. Son fils, également impliqué dans les activités de chasse, a lui aussi été condamné à 6 mois de sursis. En cause, la découverte au domicile de l’édile de 386 pièces de gibier congelées, dont une espèce protégée : le bouquetin.
En novembre dernier, le maire et son fils avaient été placés sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une enquête visant des faits de braconnage. Depuis 2020, les deux hommes faisaient l’objet d’une surveillance accrue de la part de l’Office français de la biodiversité (OFB).