Grâce au CelsaLab, vous pouvez dès à présent suivre en direct les auditions des six candidats retenus à la présidence de la Maison Ronde. Suite à l’éviction de Mathieu Gallet, le CSA auditionne entre le 9 et le 13 avril : Jérôme Batout, Bruno Delport, François Desnoyers, Guillaume Klossa, Christophe Tardieu et Sibyle Veil. L’identité du nouveau PDG sera connu à partir du 14 avril prochain.
Live Blog DIRECT – Audition CSA
Tout au long de ces 3 jours d’audition, nous vous proposons de découvrir le profil des candidats du jour à la présidence de Radio France.
Quels sont les candidats de cette nouvelle journée d’audition ?
Pour rappel, voici les fiches des deux candidats d’hier après-midi :
Camille Bichler, avec Albane Guichard et Nicolas Quenard
Samedi 14 avril s’ouvrira la première édition du Marché de l’illustration impertinente à Paris. Illustrations érotiques, artistes coquins et ateliers ludiques viendront réchauffer le Hasard Ludique pour un week-end olé olé.
« Couvrez ce sein que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées. » Molière, Tartuffe ou l’imposteur.
Que les prudes comme Tartuffe soient prévenus : ce week-end au Hasard Ludique, les corps seront nus et un brin obscènes à l’occasion du Marché de l’illustration impertinente. Samedi 14 et dimanche 15 avril, Le Hasard Ludique « met le doigt où ça fait du bien et vient titiller le petit coquin qui sommeille en vous ». Sexe, désir et érotisme seront à l’honneur pour la première édition de ce marché qui réunira des artistes et des collectifs issus de l’illustration, du fanzine et de l’édition. Au programme : dessins coquins, ateliers pailletés, tattoos fripons, bingo Q déjanté, et DJ set endiablé.
Ce week-end sera chaud, et on ne parle pas de la météo ! D’ici là, on vous laisse vous mettre dans l’ambiance avec notre playlist 100% sexe…
Constituant son équipe pour mener à bien la réforme de l’audiovisuel public, la ministre de la culture Françoise Nyssen a décidé de faire appel à l’ancienne journaliste Isabelle Giordano. Présentatrice du “Journal du cinéma“ jusqu’en 2002 sur Canal+, elle a par la suite travaillé pour France 3, France 2 et France Inter. Plus récemment, elle occupait le poste de directrice générale d’UniFrance, la structure chargée de la promotion du cinéma français à l’étranger. Un atout de taille puisque, selon Le Parisien, c’est sur cette question spécifique qu’elle interviendra au sein de l’équipe.
Le spiritisme asiatique s’invite au musée du quai Branly – Jacques Chirac à travers une exposition qui débute ce mardi jusqu’au 15 juillet prochain.
Qui osera croiser le regard d’une femme-chat vengeresse ou faire face à des revenants affamés ? Aujourd’hui débute l’exposition “Enfers et Fantômes d’Asie“ au musée du quai Branly – Jacques Chirac. Une présentation vaste et détaillée d’histoires d’épouvantes et de mythes surnaturels de l’Asie du XVIe siècle à nos jours. De nombreux supports comme le cinéma, l’art religieux, le théâtre traditionnel, le manga et les jeux vidéo nous permettent d’évoluer tout au long du parcours dans l’imaginaire asiatique. Des estampes du maître Hokusai au célèbre jeu Pac-man, en passant par l’extravagant cinéma d’horreur japonais (J-Horror), l’exposition se concentre essentiellement sur le folklore chinois, thaïlandais et japonais où l’engouement populaire pour l’occulte à considérablement influencé les productions culturelles.
De la religion à l’art populaire
À l’origine c’est le bouddhisme, religion majoritaire de ces trois pays qui a contribué à la construction de ces fabulations collectives. Toutefois, c’est en marge de cette dernière et dans l’art populaire que la représentation des spectres s’est développée. De célèbres histoires comme celles d’Hannya (une femme sous l’emprise de la jalousie qui peut se changer en démon) au Japon ou de Nang Nag en Thaïlande proviennent d’abord de la transmission orale et écrite avant d’être adaptées au théâtre traditionnel (kabuki), et au cinéma. Au détour d’un couloir, une pièce est remplie de créatures fantastiques. Connus dans la religion shintoïste sous le nom de « yôkaï », ces esprits déchus de la nature peuvent être à l’origine de phénomènes étranges et incarner la peur de certains lieux. Encore aujourd’hui, les manga et les films d’animation continuent à faire appel à eux, preuve que les fantômes ne meurent vraiment jamais.
L’art contemporain asiatique à l’honneur
L’exposition accorde enfin une place de choix à la création contemporaine. Des installations vidéoludiques reproduisant les enfers ou des décors créés par un studio d’effets spéciaux thaïlandais viennent agrémenter le parcours et nous plonge un peu plus dans l’univers dérangeant de l’horreur “Made in Asia“. Attention tout de même aux apparitions fantomatiques en hologramme d’une femme pendue qui plongera son regard dans le vôtre : Certains ne s’en sont toujours pas remis…